Ça va.
Laisse-lui s’agrandir.
Il a vraiment besoin de partir.
Il faut avoir du temps
et tous les temps verbaux possibles
pour qu’il puisse voir
qu’il doit en fait suivre
le chemin pour rentrer chez moi.
Je cherche que ses yeux ;
pas d’autres.
Je rêve que de sa chaleur ;
pas de foutre.
Je ne veux que son perdu coeur ;
la Fée Verte de mon âme,
la raison pour laquelle j’aime
croire qu’il m’aime.
Dieu... Qu’il m’aime. ..
Mais ça va : ça me va.
Et un jour ça lui ira.
Aussi. Ou pas ?
Tant pis ! Je sais pas.
Je sais plus.
Je continue
— comme toujours,
comme tous mes jours ;
seulement —
seul là.
croire qu’il m’aime.
Mais ça va : ça me va.
Tant pis ! Je sais pas.
Je continue
Mergulhão
Nenhum comentário:
Postar um comentário
– – – – – – – – – – – – – – – – – – o que viu nessa estrada?